Food wars comme son nom l’indique a pris le parti de présenter la cuisine comme un champ de bataille. Un véritable pugilat dont l’enjeu doit être le plus dramatique possible. Le héros doit intégrer une école de cuisine haut de gamme (en fait l’Ecole avec un grand E, ou plutôt avec un grand tout puisque tout est outré, outrancier, que dis-je outrancier, enflé !)
Il réussit mais chaque pas dans cette école peut mener à l’exclusion et tout devient prétexte à des combats de cuisiniers où la défaite est inexcusable. Tout cela ferait très samouraï sans une petite particularité, qui fera, pour certains, le charme de ce titre et qui, pour d’autres (et j’en suis), les laissera perplexes devant les réactions des gouteurs et surtout des gouteuses.
Une fois cela écarté, il reste un dessin que j’aime beaucoup, des personnages secondaires qui prendront, j’espère, plus d’importance et un héros attachant tant il est tête de lard (facile, je sais mais irrésistible).
Faites-vous vous même votre idée sur le titre, il vous attend à Quartier libre et même dans l’expo 🙂