Eh oui, j’avais déjà présenté ce drama mais il se trouve qu’il rentre aussi dans cette thématique. Coffee prince se passe comme son nom l’indique dans un café… à Séoul. Outre l’histoire d’amour (géniale !!!!!), c’est aussi l’histoire de ce café et d’une jeune fille qui veut devenir barista, autrement dit une experte du café, de celles qui peuvent faire des dessins avec la crème de votre cappucino. Ce genre de fantaisie est très à la mode chez les coréens qui s’intéressent à toutes les variantes du café, sauf l’expresso apparemment ! Reste une comédie romantique très bien faite et un couple vedette à tomber ! Je vous ressers donc mon post de 2014.
Ko Eun Chan est une fille. Enfin une fille, c’est vite dit car tout le monde la prend pour un garçon, ce qui l’arrange, jusqu’au jour où elle rencontre Choi Han Gyul. Ce dernier est aussi enfant gâté qu’elle est sans le sou. De plus, c’est un playboy et pour finir, il la prend, lui aussi, pour un garçon. A telle enseigne qu’il va l’engager comme faux boyfriend pour décourager des rencontres arrangées avec des héritières. Le stratagème marche tellement bien que, pour éviter de se faire couper les vivres par sa grand-mère, Han Gyul va devoir reprendre un café en faillite et redresser la barre de ce commerce en 3 mois. Il engage toute une équipe de beaux jeunes gens pour faire venir la clientèle (féminine en priorité semble-t-il), dont Eun Chan. Je vous fais grâce de toutes les histoires de cœur développées dans ce drama pour me concentrer sur les affres de Han Gyul, très attiré par son garçon de café et qui ne sait plus où il en est et celles de Eun Chan qui refuse de dire la vérité à son patron par peur de souffrir. Elle est tellement habituée à se faire passer pour un garçon qu’elle ne sait pas quelle genre de femme elle est. Son identité sexuelle semble déterminée par ses qualités qui tendraient, tout du moins en Corée, à en faire un garçon : elle est forte, très responsable (au point d’être devenue le chef de famille), goinfre et travailleuse acharnée. Bon, sa poitrine assez inexistante et ses T-Shirts XXXXL doivent y être aussi pour quelque chose. Pour une fois que je trouve une héroïne travestie crédible, je ne vais pas faire de remarques sur les clichés accumulés. Ce drama, même s’il est dégoulinant de guimauve (mais c’est un peu le cas de tous les dramas) est très agréable à suivre et on se surprend à ne pas le lâcher avant de connaître la fin : ce qui implique quelques nuits blanches !
A voir à Quartier libre