A lire : Vampire Chronicles, la légende du roi déchu

Vous aimez bien l’espace, mais êtes fan des vampires…alors le manga shonen Vampires chronicles est fait pour vous ! (ok, pour l’originalité de la phrase d’accroche, on repassera…mais il faut m’excuser, hier c’était le démontage de l’expo, j’en ai encore des courbatures. Et c’est bien connu, les courbatures empêchent notre créativité de s’exprimer… 😉 !)

© Kyo Shirodaira, Yuri Kimura / SQUARE ENIX CO., LTD.

Bref, posons le décor : « Il y a plusieurs milliers d’années, les pouvoirs terrifiants de la reine des vampires faillirent détruire le monde. Les hommes l’enfermèrent en attendant d’être assez puissants pour lui ôter la vie.
C’était sans compter sur le roi des vampires : depuis, il la cherche sans relâche et, pour elle, il a trahi sa couronne et les siens. Hommes, vampires, tous cherchent à l’arrêter par peur du chaos qu’il pourrait déclencher.
Mais son pire ennemi est le cygne noir : à chaque génération, il s’incarne dans le corps d’une femme différente. Le roi des vampires a beau les terrasser les unes après les autres, leurs pouvoirs s’additionnent à chaque réincarnation et un jour, sans espoir de recours, il sait qu’il sera vaincu… » (Mangas-news)

Un mélange de combats entre ennemis millénaires, romance et amours impossibles, vampires et traditions japonaises, et ce mystérieux projet Over-moon ! On réinvente ici le mythe vampirique…Mais alors…vous pensez qu’on nous aurait caché des choses ?!

Du fantastique avec sa touche de science-fiction : il y en a pour tous les goûts 🙂

 

A lire Macross 7 Trash

Couverture Macross 7 trash

MACROSS 7 TRASH © Haruhiko Mikimoto & Big West 1995 / KADOKAWA SHOTEN Publishing Co., Ltd.

Pour les fans de mechas et de l’univers Macross, lisez donc Macross 7 Trash, ne serait-ce que pour les dessins de Haruhiko Mikimoto, character designer de la série animée Macross 7.

L’espace ici, c’est surtout l’univers Macross : les gens vivent sur des vaisseaux spatiaux tellement immenses qu’on en oublie ici qu’il s’agit de vaisseaux.

Nous suivons les aventures de Shiba, un jeune garçon de 17 ans et champion de Tornade Crush : des courses où s’affrontent deux équipes munies de rollers appelés « air blade ». Dans chaque équipe on retrouve un Ace Runner chargé de ralentir l’équipe adverse…ça promet de belles acrobaties ! A ses côtés on retrouve Enika, une amie passant des castings pour devenir la nouvelle « Minmay Voice » (pour ceux qui ont vu Macross !). Et enfin, on a le lieutenant Mahala, jeune femme capitaine de patrouille voulant raccrocher et couler des jours tranquilles…Mais vous vous doutez bien que ce n’est pas possible…

Même si je ne suis pas une spécialiste de tout l’univers Macross (eh oui, je ne peux pas être experte en tout !), je me suis naturellement laissée porter par l’histoire même si avouons-le elle traîne un peu parfois (même avec des rollers à 200km/h ! …)

A lire : Fairy Tail

Vous le connaissez sans doute déjà par cœur ou en avez au moins entendu parler…je veux parler de Fairy Tail bien sûr !

Couverture Fairy Tail vol.1

FAIRY TAIL © Hiro MASHIMA / Kodansha Ltd.

Alors pourquoi Fairy Tail dans un festival sur l’espace et les étoiles me direz-vous ? (ceux qui savent, ne dites rien voyons !)… Je vous plante le décor ?

Nous sommes dans un monde où la magie est réelle et où les guildes de magiciens tiennent une place importante. Fairy Tail est l’une de ces guildes et a une particularité : si ses membres comptent en effet parmi les plus puissants guerriers, ce sont aussi parmi les plus destructeurs et les plus déjantés. Nous suivrons ainsi les aventures de Nastu (Salamander), Lucy, Happy, Erza, Grey et tous leurs camarades. Fairy Tail, c’est comme une très grande famille et on ne s’y ennuie jamais.

 

Fairy Tail, c’est un shônen dans toute sa splendeur : ne vous y trompez pas, il n’y a rien de fondamentalement original dans le scénario mais il y a tout pourtant tout ce qu’on attend : de la rigolade, de l’amitié et surtout …de la baston !

Et pour revenir à nos moutons, ou plutôt à nos étoiles : C’est bien sûr Lucy ! Lucy qui a des pouvoirs constellationistes … heu, en gros elle invoque des esprits, mais pas n’importe lesquels : les esprits stellaires : le Lion, le Cancer, le Verseau, le Taureau, le Bélier,…pour autant sachez qu’elle ne vous donnera pas votre horoscope… Ok je sors…

En tout cas, un manga plein de rebondissements et pour ceux qui préfèrent les animes, il existe aussi bien sûr (avec une très bonne bande originale d’ailleurs !)

A lire : Capitaine Albator – Dimension Voyage

Pour les nostalgiques ou pour les nouveaux curieux, voici Capitaine Albator – Dimension voyage. Ce manga revisitant l’univers du célèbre capitaine pirate de l’espace est publié depuis 2014 et le volume 6 devrait paraître prochainement en France chez Kana.

© 2014 Leiji MATSUMOTO / Kôichi Shimahoshi / Akita Publishing

Pour le pitch :
 » Alors qu’un peuple de guerrières extra-terrestre qui ont perdu leur planète d’origine, les Sylvrides, complotent l’invasion de la Terre et l’anéantissement de l’Humanité, les terriens vivent dans l’opulence, noyés dans l’inconscience et la futilité, aveugle aux véritables menaces qui les guettent.
Car quelques mois avant le début de l’histoire, une mystérieuse sphère noire, couvertes de glyphes, s’est écrasée sur Terre. Un signe évident, qui reste pourtant invisible à la population.
Les hommes et femmes valeureux sont tous partis dans l’espace pour tenter de couper l’herbe sous les pieds des potentiels envahisseurs. Mais aucun d’eux n’a vu venir les Mazones et à présent, la Terre se retrouve sans défense…ou presque.  » (Mangas-news)

Des dessins magnifiques et puissants, tout ce qu’il faut pour apprécier cet univers (dans tous les sens du terme!). Et, je ne sais pas vous mais je ne peux pas m’empêcher de faire certains parallèles entre la situation des terriens et la nôtre…coïncidence ?…non je ne crois pas…

Et les allusions à la matière noire, rappelez-vous, Johan Richard nous en a parlé mardi pendant son atelier  !

Et bien sûr, dispo à Quartier Libre ! 🙂

A lire : Toriko

TORIKO © 2008 by Mitsutoshi Shimabukuro / SHUEISHA INC.

TORIKO © 2008 by Mitsutoshi Shimabukuro / SHUEISHA INC.

Toriko, c’est  36 tomes au Japon et ce n’est pas fini ! Est-ce-que Mitsutoshi Shimabukuro veut faire comme son ami Eiichiro Oda (78 tomes en cours) ? J’espère que non car je n’aurai pas assez de place dans Quartier libre pour deux titres aussi titanesques ! En tout cas, comme dans One piece, on trouve dans Toriko un univers très touffu tout entier dédié à un même sujet : ici la gastronomie a remplacé la piraterie mais le délire est le même ! Le monde de Toriko est dominé par une organisation mondiale de gourmets qui a supplanté l’ONU (hein ???).

La seule fin (faim ?) de ce monde semble être la cuisine. Et pour pourvoir assouvir cette envie de saveurs toutes plus exotiques les unes que les autres, il faut des gourmets hunters qui vont risquer leur vie pour de richissimes clients. Parmi eux, il y en a 4 qui se démarquent : les 4 rois et je vous le donne en mille, Toriko est l’un d’eux.

Il parcours le monde pour gagner sa vie mais surtout manger des mets extraordinaires et compléter son menu idéal (à la fin du tome 1, il a trouvé un plat de ce menu).

Pour ceux qui seraient accros, nous avons aussi l’anime de ce titre !

A voir : Toriko

toriko_coffret1-dvd-kazeDe temps en temps, je prends le manga ET l’anime d’un même titre lors d’un festival. Parce que je n’ai pas beaucoup d’animes sur le thème ? Euh, oui 🙂

Mais aussi, si le titre est tellement emblématique que cela se justifie. C’est le cas de Toriko, donc, voilà l’anime ! Et comme cela est dit dans le générique d’ouverture (autrement appelé opening chez le djeun’s) : Itadakimasu !*

*cela ne veut pas dire Bon appétit en japonais mais c’est ce qui s’en rapproche le plus, alors …

 

 

A lire : Hell’s kitchen

HELL'S KITCHEN © 2010 Gumi AMAZI / Mitsuru NISHIMURA / Kodansha Ltd.

HELL’S KITCHEN © 2010 Gumi AMAZI / Mitsuru NISHIMURA / Kodansha Ltd.

Il y a effectivement un peu de tout dans Hell’s kitchen : un peu de jolies filles à forte poitrine, un peu de héros qui peinent à se trouver, un peu de démons, de personnages secondaires totalement fous et beaucoup de cuisine avec des idées toutes plus loufoques les unes que les autres. Le tout dans une école de cuisine aux méthodes, locaux et professeurs dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils sont originaux. Cela fait vaguement penser à Food wars ? Je vous l’accorde volontiers (avec moins de situations équivoques).

A lire : Food wars

SHOKUGEKI NO SOMA © 2012 by Yuto Tsukuda, Shun Saeki / SHUEISHA Inc.

SHOKUGEKI NO SOMA © 2012 by Yuto Tsukuda, Shun Saeki / SHUEISHA Inc.

Food wars comme son nom l’indique a pris le parti de présenter la cuisine comme un champ de bataille. Un véritable pugilat dont l’enjeu doit être le plus dramatique possible. Le héros doit intégrer une école de cuisine haut de gamme (en fait l’Ecole avec un grand E, ou plutôt avec un grand tout puisque tout est outré, outrancier, que dis-je outrancier, enflé !)

Il réussit mais chaque pas dans cette école peut mener à l’exclusion et tout devient prétexte à des combats de cuisiniers où la défaite est inexcusable. Tout cela ferait très samouraï sans une petite particularité, qui fera, pour certains, le charme de ce titre et qui, pour d’autres (et j’en suis), les laissera perplexes devant les réactions des gouteurs et surtout des gouteuses.

Une fois cela écarté, il reste un dessin que j’aime beaucoup, des personnages secondaires qui prendront, j’espère, plus d’importance et un héros attachant tant il est tête de lard (facile, je sais mais irrésistible).

Faites-vous vous même votre idée sur le titre, il vous attend à Quartier libre et même dans l’expo 🙂